Nieuws
Nikolay Deyanov
20-06-2025
Manifestation 25 juin 2025 - BRUXELLES
Tout le monde paie le prix… sauf les plus riches !
Avec le gouvernement Arizona, seuls ceux qui appartiennent à l’élite avancent. Pour tous les autres, il devient de plus en plus difficile de s’en sortir, de progresser ou simplement de souffler un peu.
Vous travaillez ?
Alors vous êtes puni : salaires bloqués, indexation menacée, encore plus d’heures supplémentaires et de travail le week-end, contrats précaires, moins de possibilités de lever le pied en fin de carrière.
Vous tombez malade ?
Vous comptez soudain moins. Vous êtes pourchassé par des sanctions sévères qui ne profitent à personne. Les périodes de maladie comptent moins pour vos droits sociaux, mais vous obligent à travailler plus longtemps et entraînent un malus sur votre pension. Un coup dur dans votre vie ? Vous le payez très cher à la fin de votre parcours.
Vous ne retrouvez pas rapidement un emploi ?
Aucun accompagnement ni sécurité pour vous. Vous n’avez qu’à frapper à la porte du CPAS.
Vous êtes une femme ?
Alors vous payez double. Les femmes travaillent plus souvent à temps partiel — souvent par nécessité. Elles s’occupent plus souvent des enfants ou de la famille. Pourtant, dans notre système de protection sociale, les carrières à temps partiel sont désavantagées.
Vous comptez sur des services publics de qualité ?
Le gouvernement Arizona sabre dedans à coups de hache. Moins de budget. Moins de personnel. Moins de qualité. Moins de sécurité. Moins de certitude. Cela nuit à tout le monde, y compris au personnel.
Et le dialogue social ?
Plus de 100 jours après le début du gouvernement, les partenaires sociaux — et donc les travailleurs — attendent encore un véritable dialogue social. Le dialogue social n’est pas un obstacle à la politique. Il est la politique !
Ce gouvernement avait promis des emplois faisables et plus de pouvoir d’achat. Mais qu’avons-nous obtenu ?
Des promesses brisées et un démantèlement social, mais des milliards pour l’armement.
Ce déséquilibre est inacceptable. Nous maintenons la pression.
Ce que nous voulons :
• Une rémunération équitable
• Du respect pour ceux qui travaillent, sont malades ou cherchent un emploi
• Des services publics accessibles et fiables
• Une politique sociale qui n’exclut personne
• Un dialogue social réel avec une véritable participation des travailleurs
Rendez-vous le 25 juin à Bruxelles.
Pour nos droits. Pour notre avenir. Pour une politique qui fonctionne pour les gens, pas contre eux.
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